Des logements en bande.
Trois logements mitoyens construits dans le même style que les premiers corons du Nord-Pas-de-Calais.
Le dépôt de dynamite de 1904
Un décret du 19 mai 1904 (promulgué au Journal officiel du 12 juin) autorise l'établissement d'un dépôt de dynamite dans la butte de sable. Deux galeries voûtées, en maçonnerie et disposées en T, sont construites en limite sud-est de la butte. L'entrée de la galerie d'accès est fermée par une grille métallique en face de laquelle est édifié un merlon de six mètres de haut. À l'autre extrémité de la galerie d'accès, une porte de bois protège une chambre dallée où est stockée la dynamite. La chambre est équipée d'une cheminée d'aérage traversant la butte et munie d'un paratonnerre. L'ouverture de la porte, ou la rupture des fils électriques, déclenche aussitôt une sonnerie dans la maison voisine, occupée par un gardien.
Le chenil du directeur.
Trois enfoncements pratiqués dans un mur de l'Orangerie servaient de niches aux chiens du directeur de la mine. Une seule d'entre elles a conservé son avancée de briques.
L'Orangerie de la Clôture.
L'Orangerie, ancienne remise, est vendue le 12 juillet 1993, à la mort de la dernière fille de Georges Delambre et rénovée en 1996.
Près de l'Orangerie, les bâtiments agricoles de la Métairie de la Clôture sont restaurés et convertis en habitation en 2004.
Une maison de gardien.
Un dépôt de dynamite est établi dans la butte au début du XXe siècle. Le gardien loge dans la maison voisine, bâtie sur le terrain dénommé "Prairie d'Abas" ou "Prairie d'en Bas".
Le "Coron".
Le "Coron", un ensemble de logements ouvriers rénové en 1993 par la société d'HLM Aiguillon Construction, avec une participation du District de Rennes.
L'ancien hôtel de la mine.
Au-dessus de la porte d'entrée, une vieille enseigne peinte sur la brique rappelle toujours l'activité passée : "HÔTEL DE LA MINE - ÉPICERIE, MERCERIE - LELIÈVRE - PREND DES PENSSIONNAIRES" (sic).
Des habitations caractéristiques